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● LES 5 AVANTAGES DE LA THÉRAPIE EN LIGNE
1-Parce que c’est tout aussi efficace qu’une séance en cabinet, dans mes séances d’hypnose, vous êtes guidé par ma voix.
2- Parce que c’est simple, il vous suffit de vous trouver seul au calme, dans un fauteuil confortable avec votre téléphone et une paire d’écouteurs.
3- Parce que cela correspond à nos modes de vie d’aujourd’hui, vous travaillez à distance, vous faites vos courses à distance, vous communiquez avec vos proches et moins proches à distance… et vos emplois du temps surchargés.
4- Parce que la thérapie doit pouvoir être accessible à tous, que vous soyez une personne à mobilité réduite, une personne âgée en une personne isolée géographiquement.
5- Parce que le temps du confinement peut être anxiogène, stressant… Ou devenir un temps pour
soi.
● DÉROULEMENT DES TÉLÉ-CONSULTATIONS.
La première consultation consiste en la découverte de votre histoire de vie (anamnèse) et à la détermination de vos besoins, vos objectifs.
Ensuite les séances se déroulent au rythme d’une à trois fois par semaine, en fonction du type d’accompagnement souhaité.
● WEBCAM
Une fois le contact établi par téléphone et les webcams en marche, la séance commence. Client et thérapeute se disent bonjour en se voyant. Durant toute la connexion, le client reste sous le regard du thérapeute, comme en cabinet.
● LA VIDÉO-CONFÉRENCE
Pour la vidéoconférence vous pouvez utiliser les applications Skype et WhatsApp.
● ARTICLE: LES FRANÇAIS PRÊTS POUR LA TÉLÉCONSULTATION
« Les Français sont prêts pour la télésurveillance et la téléconsultation selon une enquête effectuée.
La télémédecine est un concept connu de 75% des Français mais seulement un quart savent réellement en quoi cela consiste précisément.
Une méconnaissance partielle qui n’entrave pas l’enthousiasme de la population pour ces nouvelles technologies.
Elle est perçue positivement et plus encore par ceux qui connaissent cette
discipline : 87% des Français estiment que c’est un bon moyen de maintenir les personnes âgées à domicile, 77% qu’elle permettrait de palier à la désertification médicale dans les zones rurales et 63% qu’elle permettrait de compenser le manque de personnel dans ce secteur professionnel.
Parmi les personnes interrogées, 60% estiment qu’elles pourraient y avoir recours pour elles-mêmes ou pour leurs parents dépendants.
Des craintes subsistent cependant en ce qui concerne les enfants ».Source : Marie Lestelle (Paris).
Alix Frechet